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Précautions à prendre lors de la prise de stéroïdes

Messages recommandés

Les précautions à prendre lors de la prise de stéroïdes

 

 

 

Malgré de nombreuses règlementations strictes, la prise de stéroïdes s'est généralisée.

Vendu dans les pharmacies sous prescription mais aussi sur le marché noir, ils connaissent alors de nombreux adeptes en dépit des effets secondaires qu'ils génèrent.

Ainsi, avant de prendre des stéroïdes, il est important de bien savoir les conséquences aussi bien positives que négatives de ces produits.

Mais surtout, il faut prendre quelques précautions pour éviter les effets néfastes de ces produits.

 

D'une manière générale, les stéroïdes sont divisées en deux grands groupes :

 

les stéroïdes anabolisants et les corticostéroïdes.

Ces derniers contiennent principalement de la cortisone et de la prednisone et ils sont prescrits pour leurs effets anti-inflammatoires.

 

Les stéroïdes anabolisants sont pour leur part constitués de testostérone et ont pour effet l'augmentation des tissus musculaires grâce à la synthèse des protéines contenues dans les cellules.

Ils ont également pour effet d'accroître la puberté chez les hommes et comme ils augmentent la force, les sportifs sont les grands consommateurs de ces produits.

Les stéroïdes anabolisants sont désormais vendus dans les pharmacies mais également sur le marché noir. De nombreux adolescents n'hésitent pas à en prendre pour accélérer la croissance musculaire et stimuler la croissance osseuse.

Cependant, ils ont des effets négatifs et peut entraîner une dépendance.

Ces effets sont non négligeables car ils peuvent influer sur l'apparence physique et psychique de l'individu. Ainsi, dans le cas d'un adolescent, la prise de stéroïde est fortement déconseillé.

C'est pour cette raison qu'il faut prendre en compte les risques et ne pas abuser de ces produits afin de prévenir les effets négatifs.

 

L'efficacité des stéroïdes anabolisants

 

Si autant de personnes consomment des stéroïdes, c'est qu'il y a forcément des bénéfices à en retirer. Comme ils augmentent la masse musculaire, l'aspect physique s'améliore rapidement, entraînant également la réduction du stress et de la fatigue.

La motivation est accrue ainsi que l'esprit de compétition.

C'est pour cela d'ailleurs que les sportifs en consomment, surtout ceux qui pratiquent le culturisme.

Ainsi, la plupart des adolescents américains utilisent ce produit pour améliorer leur apparence ou leur force physique.

D'autre part, les agents de police, les pompiers ou encore les videurs commencent également à en consommer pour les besoins de leur travail.

En effet, ces stéroïdes ont vraiment des effets bénéfiques surtout s'ils sont associés à un régime alimentaire hyper protéiné.

 

Les effets négatifs des stéroïdes

 

Bien plus que les avantages, les effets secondaires des stéroïdes sont alarmants.

Chez les hommes et bien pire pour les femmes, la prise de ces produits doit être effectuée avec précaution au risque d'en subir les désastreuses conséquences.

Même une faible dose peut être néfaste si on n'est pas vigilant.

Chez les hommes, l'abus de stéroïde entraîne l'impuissance voire la stérilité, l'acné, la calvitie, les troubles cardiovasculaires et même le cancer.

Chez les femmes, les effets secondaires se manifestent par une forte pilosité faciale, un déséquilibre du cycle menstruel ou une diminution de la poitrine, sans parler des autres effets physiques comme l'hypertension, les tremblements ou une forte variation du taux de cholestérol.

Mais, les conséquences peuvent également être psychiques comme l'agressivité, les hallucinations, l'insomnie et les troubles du comportement.

Autant dire que la prise de stéroïdes n'apporte pas que des effets bénéfiques.

De ce fait, la prise des stéroïdes ne se fait pas selon notre décision mais doit être strictement contrôlé.

 

Conseils pour prendre des stéroïdes

 

Tout d'abord, évitez de les acheter au marché noir puisque ces produits ne sont ni testés ni contrôlés et leurs effets sont inconnus.

Ensuite, il ne faut les prendre qu'en cas de nécessité et en infime quantité, de préférence sous prescription médicale.

Généralement, les médecins prescrivent des stéroïdes pour stimuler la croissance osseuse et musculaire, aussi ce sont les occasions pour en prendre.

Sinon, si vous décidez d'en consommer, respectez les doses prescrites.

Généralement, les doses des injections sont inférieures à celles des pilules.

Les utilisateurs préfèrent les injections par rapport aux pilules pour éviter les effets secondaires de celles-ci.

Cependant, les effets secondaires peuvent toujours se présenter quelle que soit la quantité consommée et la forme d'administration.

Il faut éviter la prise abusive de stéroïdes puisque cela entraîne des dépendances, voire une aggravation des effets secondaires.

http://www.google.fr/url?sa=t&source=web&cd=5&ved=0CDYQFjAE&url=http%3A%2F%2Fwww.libertalia.org%2Floisirs%2Fsport%2Fmusculation%2Fconseils-pour-prendre-des.xhtml&ei=TwlsUraZK8bT7AaH34C4Bw&usg=AFQjCNHRkbrogN8tuIHxilR1n11aZkS8nw&sig2=wbikOJjmKFSDqbqaPbPILQ

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Merci pour cet article Béru. Tout est dit et expliqué. La plus grande consommation est au USA. Ils en prennent déjà au lycée, chez eux c'est tout à fait normal. Ils vivent de ça c'est claire et pour eux ce n'est pas anodin.

Pour ce qui est de la dépendance, je suis aussi entièrement d'accord. Des qu'on s'habitue en cure d'une force incomparable, se sentir bien bâtie, avoir toujours la patate et que lorsque qu'après PCT tout redeviens à la normal si je peux dire et bien on se sent pas bien pendant un petit moment et cela même avec une PCT contrôlé et maitrisé. 

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+1 KAI

Le piège est qu'on associe une période de cure à une période "normale" et que hors cure, on se sent "en dessous" de notre niveau.

En plus, on n'est jamais satisfait des résultats obtenus. Notamment parce que souvent, on ne se voit pas progresser. D'où l'importance d'un regard extérieur, de faire des photos, de noter ses perfs...

À part ceux qui cherchent à faire des podiums, les autres il nous faut savoir rester raisonnable et "entendre" ceux qui nous voient progresser...

Pour ma part, ça me permet de ne pas tomber dans l'excès avec les stéroïdes.

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+ 1 pour toi aussi. 

 

Et oui c'est embêtant après PCT de revoir ces charges à la baisses lol, mais faut le faire. C'est le cercle vicieux du cycle sur cycle. Donc c'est tout à fait normal et faut savoir se remettre en question. Avec le triple de testo dans le sang de la normal c'est tout à fait normal de soulever des mégas charges et que lorsque ça revient à la normal que la progression n'est pas constate. C'est d'ailleurs dans cette périodes qui nous parait anormal à nos yeux qu'il faut bosser deux fois plus pour retrouver ce que nous avions pendant la périodes ON, elle sera plus facilement atteignable vue que nous l'avions déjà atteint. 

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Comme en période OFF, on prépare sa cure, son training et sa diète. En période ON, il faut préparer l'après (training et diète).

La période OFF doit permettre également de stabiliser et de récupérer (notamment pour les quadragénaires :) )

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Ça reste une dépendante subjective à un état et pas un état de dépendance physique tout court.

 

C'est pas de la chimie. On est dépendant aux drogues, aux benzos etc.. Par exemple, Même avec la meilleures des volontés t'arrête pas un somnifère comme ça, ton corps ne saura plus dormir.

Je suis dépendant aux hormones thyroïdiennes parce que je n'ai plus de thyroïde.

Là c'est une vraie dépendance.

 

Il y a la dépendance aux roids, c'est la même que celle des mecs qui sont accros à la mal bouffe c'est dans la tête. Un cran en dessous de la dépendance à la chatte par exemple qui est réellement hormonale..

Les dépendances psychiques sont souvent ancrées depuis l'enfance ou l'adolescence..

Là il y a une notion de bien être (perso je me sens pas plus puissant ou en forme) mais on est loin de la coke.

 

Je crois que c'est plus une question d'être pondéré ou pas.. Prendre des charges plus lourdes oui.. Mais à l'année les tendons et articulations?

Il y a la facilité la T3 c'est cool (même si c'est pas un stéroïde c'est vrai) mais on peut faire une très bonne sèche sans.. Des potes on fait des concours sans.

Si on a un bon programme de cures, l'entre deux c'est garder au mieux ses gains, voir ce qu'il en reste etc.. Pondération. De nettoyer. Essayer de rester propre.. Je pense que la dépendance est surtout axée là sur la facilité et la fierté. (Sans vouloir choquer).

 

Il ne faut pas confondre. Il faut catégoriser le terme "dépendance" sinon c'est trop facile de se cacher derrière.

 

Là en plus ça reste un article qui veut classifier comme stupéfiant le roid.

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Je m'offre un double post.. Dsl. La relance. Je trouve qu'on abuse souvent sur le dosage du Clomid et là vient cet état de malêtre. La dernière fois je me suis senti à fleur de peau. Coupé le dosage en deux et j'étais bien.

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Oui c'est sur que cela dépend de l'état physique de la personne. On n'est tous différents. Mais quand je regarde l'état physique de certaine personne d'un certain Forum pour ne rien citer. Qu'ils veulent cycler à l'année par ce que sinon ils se sentent mal et qu'a chaque cycle v'la les dosages de drogué, oui, ça, c'est de la dépendance. 

 

Pour le clomid, je suis d'accord. J'en met même pas "personnellement", uniquement de l'HCG et novaldex en pct. Mais encore une fois, c'est un grand débat. ET personne ! ne pourra dire faire comme si ou faire comme ça, ni toi ! ni moi ! ne nous sommes pas médecin ni psychologue à ce sujet. 

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Les deux dernier post, sont interessant, je veut bien savoir pourquoi ne pas utilisé le clomid, et Cabane c'est tu peut expliquer une relance au clomid divisé par deux c'est quoi pour toi .

 

Car j'ai remarquer que c'est pendant la PCT que je me tape une gyno (du au clomid?) Et c'est a ce moment la que j'ai une éruption de boutons (Foie? Clomid? )

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Le clomid Certains de ses effets secondaires peuvent être permanents!

 

le Clomid était le principal traitement utilisé lors de l'infertilité féminine (ou masculine ) et il permet effectivement d'augmenter la production endogène d'hormone , la spermatogenèse et l'ovogenèse. Bien qu'il ait été affirmé que Clomid "stimule" la production de l'hormone lutéinisante (LH) et donc de la testostérone, en fait l'activité de Clomid n'est pas réalisé par la stimulation de l'hypothalamus et de l'hypophyse, mais en bloquant leur inhibition par les oestrogènes...

 

 étude effectuée dans les années 70 et là le résultat est sans appel

 

Pituitary Sensitivity to GnRH

Studies conducted in the late 1970's at the University of Ghent in Belgium make clear the advantages of using Nolvadex instead of Clomid for increasing testosterone levels (1). Here, researchers looked the effects of Nolvadex and Clomid on the endocrine profiles of normal men, as well as those suffering from low sperm counts (oligospermia). For our purposes, the results of these drugs on hormonally normal men are obviously the most relevant. What was found, just in the early parts of the study, was quite enlightening. Nolvadex, used for 10 days at a dosage of 20mg daily, increased serum testosterone levels to 142% of baseline, which was on par with the effect of 150mg of Clomid daily for the same duration (the testosterone increase was slightly, but not significantly, better for Clomid). We must remember though that this is the effect of three 50mg tablets of Clomid. With the price of both a 50mg Clomid and 20mg Nolvadex typically very similar, we are already seeing a cost vs. results discrepancy forming that strongly favors the Nolvadex side.

But something more interesting is happening. Researchers were also conducting GnRH stimulation tests before and after various points of treatment with Nolvadex and Clomid, and the two drugs had markedly different results. These tests involved infusing patients with 100mcg of GnRH and measuring the output of pituitary lh - leutenizing hormone - in response. The focus of this test is to see how sensitive the pituitary is to Gonadotropin Releasing Hormone. The more sensitive the pituitary, the more lh - leutenizing hormone - will be released. The tests showed that after ten days of treatment with Nolvadex, pituitary sensitivity to GnRH increased slightly compared to pre-treated values. This is contrast to 10 days of treatment with 150mg Clomid, which was shown to consistently DECREASE pituitary sensitivity to GnRH (more lh - leutenizing hormone - was released before treatment). As the study with Nolvadex progresses to 6 weeks, pituitary sensitivity to GnRH was significantly higher than pre-treated or 10-day levels. At this point the same 20mg dosage was also raising testosterone and lh - leutenizing hormone - levels to an average of 183% and 172% of base values, respectively, which again is measurably higher than what was noted 10 days into therapy. Within 10 days of treatment Clomid is already exerting an effect that is causing the pituitary to become slightly desensitized to GnRH, while prolonged use of Nolvadex serves only to increase pituitary sensitivity to this hormone. That is not to say Clomid won't increase testosterone if taken for the same 6 week time period. Quite the opposite is true. But we are, however, noticing an advantage in Nolvadex.

Conclusion

To summarize the above research succinctly, Nolvadex is the more purely anti-estrogenic of the two drugs, at least where the hpta - hypothalamic-pituitary-testicular axis - (Hypothalamic-Pituitary-Testicular Axis) is concerned. This fact enables Nolvadex to offer the male bodybuilder certain advantages over Clomid. This is especially true at times when we are looking to restore a balanced hpta - hypothalamic-pituitary-testicular axis - , and would not want to desensitize the pituitary to GnRH. This could perhaps slow recovery to some extent, as the pituitary would require higher amounts of hypothalamic GnRH in the presence of Clomid in order to get the same level of lh - leutenizing hormone - stimulation.

Nolvadex also seems preferred from long-term use, for those who find anti-estrogens effective enough at raising testosterone levels to warrant using as anabolics. Here Nolvadex would seem to provide a better and more stable increase in testosterone levels, and likely will offer a similar or greater effect than Clomid for considerably less money. The potential rise in sex hormone binding globulin levels with Clomid, supported by other research (3), is also cause for concern, as this might work to allow for comparably less free active testosterone compared to Nolvadex as well. Ultimately both drugs are effective anti-estrogens for the prevention of gynecomastia and elevation of endogenous testosterone.

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Les études menées à la fin des années 1970 à l'Université de Gand en Belgique font bien ressortir les avantages de l'utilisation Nolvadex au lieu de Clomid pour augmenter les niveaux de testostérone (1).

Ici, les chercheurs ont examiné les effets de Nolvadex et Clomid sur les profils endocriniens des hommes normaux, ainsi que ceux qui souffrent de la faible numération des spermatozoïdes (oligospermie).

Pour nos besoins, les résultats de ces médicaments sur les hommes hormonale normale sont évidemment les plus pertinentes.

Ce qui a été trouvé, juste dans les premières parties de l'étude, a été très instructif.

Nolvadex, utilisé pendant 10 jours à la dose de 20 mg par jour, l'augmentation des niveaux de testostérone sérique à 142% de la valeur initiale, qui était à égalité avec l'effet de 150mg de Clomid quotidien pour la même durée (l'augmentation de la testostérone était légèrement, mais pas de manière significative, mieux pour Clomid).

Nous ne devons pas oublier cependant nt que c'est l'effet de trois comprimés de 50 mg de Clomid.

Avec le prix de la fois un Clomid 50mg et 20mg Nolvadex généralement très similaires, nous constatons déjà un coût vs résultats écart formation qui favorise fortement le Nolvadex side

But quelque chose de plus intéressant qui se passe.

Les chercheurs ont également effectuer des tests de stimulation GnRH avant et après différents points de traitement avec Nolvadex et Clomid, et les deux médicaments avaient des résultats nettement différents.

Ces tests ont porté sur infusant patients avec 100mcg de GnRH et de mesure de la production de LH hypophysaire

- hormone lutéinisante

- en réponse.

L'objectif de ce test est de voir comment sensible l'hypophyse est de la gonadolibérine.

Le plus sensible de l'hypophyse, le plus lh

- hormone lutéinisante - seront libérés.

Les tests ont montré que, après dix jours de traitement avec Nolvadex, la sensibilité hypophysaire à la GnRH a légèrement augmenté par rapport aux valeurs pré-traités.

Ce contraste est à 10 jours de traitement avec Clomid 150mg, qui a été montré pour diminuer systématiquement la sensibilité hypophysaire à la GnRH (plus lh - hormone lutéinisante - a été libéré avant le traitement).

Comme l'étude avec Nolvadex progresse à 6 semaines, la sensibilité hypophysaire à la GnRH était significativement plus élevée que les niveaux pré-traitées ou 10 jours.

A ce stade, le même dosage 20mg a été également soulevé la testostérone et de LH - hormone lutéinisante - les niveaux pour une moyenne de 183% et 172% des valeurs de base, respectivement, ce qui est encore mesurable supérieur à ce qui a été noté 10 jours en thérapie.

Dans les 10 jours de traitement Clomid est déjà exercer un effet qui est à l'origine de l'hypophyse à devenir un peu insensible à la GnRH, tandis que l'utilisation prolongée de Nolvadex ne sert qu'à augmenter la sensibilité à cette hormone hypophysaire.

Cela ne veut pas dire Clomid ne sera pas augmenter la testostérone s'il est pris pendant le même laps de temps de 6 semaines.

C'est tout le contraire qui est vrai.

Mais nous sommes cependant remarquer un avantage dans Nolvadex.

ConclusionTo résumer la recherche ci-dessus succinctement, Nolvadex est le plus purement anti-oestrogénique des deux médicaments, du moins lorsque la LAPHT - axe hypothalamo-hypophyso-testiculaire - (hypothalamo-hypophyso- testiculaire Axis) est concerné. Ce fait permet Nolvadex à offrir le culturiste masculins certains avantages par rapport Clomid.

Cela est particulièrement vrai à un moment où nous cherchons à rétablir un équilibre LAPHT - axe hypothalamo-hypophyso-testiculaire - et ne voudrait pas pour désensibiliser l'hypophyse à la GnRH.

Cela pourrait peut-être ralentir la reprise dans une certaine mesure, comme l'hypophyse exigerait des quantités plus élevées de la GnRH hypothalamique en présence de Clomid afin d'obtenir le même niveau de LH - hormone lutéinisante - stimulation.

Nolvadex semble également préférable de l'utilisation à long terme, pour ceux qui trouvent des anti-oestrogènes assez efficace pour élever les niveaux de testostérone pour justifier l'utilisation comme anabolisants.

Voici Nolvadex semble fournir une meilleure et plus stable augmentation des niveaux de testostérone, et probablement offrira un effet similaire ou supérieure à Clomid pour beaucoup moins d'argent.

L'augmentation potentielle des taux de globuline de liaison des hormones sexuelles avec Clomid, soutenu par d'autres recherches (3), est également une source de préoccupation, car cela pourrait fonctionner pour permettre à la testostérone actif comparativement moins libre par rapport à Nolvadex ainsi.

En fin de compte les deux médicaments sont efficaces anti-œstrogènes pour la prévention de la gynécomastie et l'élévation de testostérone endogène.

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Ça reste une dépendante subjective à un état et pas un état de dépendance physique tout court.

 

C'est pas de la chimie. On est dépendant aux drogues, aux benzos etc.. Par exemple, Même avec la meilleures des volontés t'arrête pas un somnifère comme ça, ton corps ne saura plus dormir.

Je suis dépendant aux hormones thyroïdiennes parce que je n'ai plus de thyroïde.

Là c'est une vraie dépendance.

 

Il y a la dépendance aux roids, c'est la même que celle des mecs qui sont accros à la mal bouffe c'est dans la tête. Un cran en dessous de la dépendance à la chatte par exemple qui est réellement hormonale..

Les dépendances psychiques sont souvent ancrées depuis l'enfance ou l'adolescence..

Là il y a une notion de bien être (perso je me sens pas plus puissant ou en forme) mais on est loin de la coke.

 

Je crois que c'est plus une question d'être pondéré ou pas.. Prendre des charges plus lourdes oui.. Mais à l'année les tendons et articulations?

Il y a la facilité la T3 c'est cool (même si c'est pas un stéroïde c'est vrai) mais on peut faire une très bonne sèche sans.. Des potes on fait des concours sans.

Si on a un bon programme de cures, l'entre deux c'est garder au mieux ses gains, voir ce qu'il en reste etc.. Pondération. De nettoyer. Essayer de rester propre.. Je pense que la dépendance est surtout axée là sur la facilité et la fierté. (Sans vouloir choquer).

 

Il ne faut pas confondre. Il faut catégoriser le terme "dépendance" sinon c'est trop facile de se cacher derrière.

 

Là en plus ça reste un article qui veut classifier comme stupéfiant le roid.

 

Tu as raison Cabane.

 

Maintenant, il y en a qui sont tellement accro à leur objectif, que la dépendance passe devant beaucoup de chose. J'ai une connaissance, qui enchaîne cure sur cure, sans protection. Si bien, qu'il a des problèmes à bander, mais il s'en fout. Il veut avant tout arriver à l'objectif qu'il s'est fixé... C'est là, une réelle dépendance, où il y a une mise en danger évidente.

 

Par ailleurs, nous sommes quelques uns à être bigorexique, ce qui constitue en soit une dépendance au sport. La bigorexie est même pour certain une maladie.

 

Lire cet article : http://www.rue89.com/rue89-sport/2011/11/10/bigorexie-le-sport-cree-des-junkies-presque-comme-les-autres-226393

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Oui mais être accro à ce sport ne se résume pas aux roids rassure moi :)

 

Je baise à droite à gauche mais je mets des capotes.

 

Au sujet du Clomid la dernière fois j'ai coupé les comprimés au couteau.. La dose préconisée chaque jour divisée de moitié. J'ai forcé sur le tribulus et dès le premier jour le moral est revenu. Le Clomid nous transforme en chatte.

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Oui mais être accro à ce sport ne se résume pas aux roids rassure moi :)

 

 

Non bien sur ! Et la bigorexie concerne tous les sports... On connait tous des mecs qui sont obligés de courir tous les jours. Pour autant, ils sont certainement moins nombreux à prendre des roros.

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Oui mais être accro à ce sport ne se résume pas aux roids rassure moi :)

 

Je baise à droite à gauche mais je mets des capotes.

 

Au sujet du Clomid la dernière fois j'ai coupé les comprimés au couteau.. La dose préconisée chaque jour divisée de moitié. J'ai forcé sur le tribulus et dès le premier jour le moral est revenu. Le Clomid nous transforme en chatte.

 

Cabane tu n'as pas essayé l'osta pour la relance? Combiné au tribu sa peut faire un bon cocktail et tu peux oublié le clomid

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La dernière relance j'ai pas pris de clomid j'ai fais triptorelin, IGF/CJC avec aromasin au cas ou...j'ai pas eu de problème. La prochaine je remplace IGF/CJC par de l'ostarine.

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C'est de l'aromasine... J'ai essayé sur un début de gyno, il y a 2 ans : ça n'a rien fait.

Maintenant, chacun réagit différemment aux produits

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